Marianne

Postulat Conceptuel

A toi

À tes ondes bénéfiques, à tes vibrations valeureuses, à l’idéal de ton champ unifié, à tes interactions libératrices, à tes fractales inspiratrices, à tes résonances en sfumatos, à tes polarités de conscience, à tes énergies gravitationnelles, à ton magnétisme souverain et à tes forces d’attraction, à tes intrications symboliques, à ta confluence des temps, à ton pouvoir intentionnel bienveillant, à tes prédictions auto réalisatrices et à ton « coefficient de charme », à tes envolées lyriques, à ta présence onirique et poétique, et puis, à ta nudité centrifuge résolument féconde devant l’Histoire, et enfin, à ta fragile petite fleur tricolore qui prend racine et s’enfante en ton sein…

La République a inventé et pérennisé un Art : l’Art de Vivre une société ouverte, harmonieuse et équitable. À la fois Femme libre, icône vaillante et attentive, Marianne, est, pour Notre République, la Muse inspiratrice de cet art de vivre à la française.

Cette œuvre dépeint et restitue une Marianne intemporelle, nue, plurielle, irradiante et fascinante, libre d’elle-même et du regard des autres. Une Marianne fière, car porteuse, dans ses flancs baptismaux, du grand continuum d’une Histoire qui, tel un philtre d’amour républicain, s’infuse dans le bleu céleste de notre patriotisme laïque. Au calice envoûtant de ce philtre alchimique qui porte la vie et le « Graal » des valeurs que nous avons faites nôtres, Nous, « Son Peuple aimant », étanchons notre soif de Liberté, d’Égalité et de Fraternité.

Parce qu’elle nous a mis au monde ou adoptés, qu’elle nous protège, nous soigne, et plus que tout, nous élève pour irriguer notre chœur, n’aurions-nous même aucune goutte de sang français, que Marianne, devrait pour toujours, roucouler dans nos veines.

Puisse cette paraphrase des mots éclairés de Romain Gary, être toujours partagée avec cette ferveur, par chaque français.

Pascal di Péri

Une œuvre à trois composantes :

Une installation d’envergure nationale dont l’ancrage est communal :

Création de 1789 variations de « Marianne » à partir de 45 œuvres premières.

Le principe premier de cette œuvre est d’envisager l’installation (sur une durée indéterminée),
d’une des variations de Marianne dans toutes (si possible) les Mairies de France.
Cette exposition n’entend pas se substituer au buste de plâtre qui orne déjà les Mairies. Elle est par essence de nature plus ponctuelle, mais les élus décideront…

Chaque pièce exposée en Mairie constitue donc 1/ 35 780ème de l’ensemble potentiellement exposé. Il s’agit là d’une installation d’envergure nationale mais dont l’ancrage est communal.
Les œuvres n’ayant pas trouvé de communes pour les exposer et ainsi participer à ce grand événement, seront mises sur le Marché.

1

La mise en place d’un événement national : inauguration/vernissage

Un 14 juillet, pourrait s’avérer la date symbolique pour mettre en scène cet événement :
inauguration/vernissage…

2

L’édition d’un ouvrage d’art unique En partenariat avec une Institution prestigieuse : L’Imprimerie Nationale

Un coffret au format remarquable (lui aussi aux proportions du nombre d’or : 60 x 37 cm) qui intègre les 45 planches premières et un ouvrage d’art qui rassemblera, dans une nomenclature, toutes les communes ayant participé à cet événement…

Le dossier qui suit entre dans le détail des références conceptuelles de l’œuvre.

3

Une « Œuvre-Manifeste »

Elle est dédiée à Lucien Auguste Camus (père d’Albert Camus) à qui l’on doit :

« Un homme, ça s’empêche… »

Même si cette très courte phrase fut dite pour d’autres circonstances, elle porte et structure tout le contexte ainsi que l’essentiel du « chemin créatif » de cette recherche. À elle seule, elle résume toute la substantifique moelle qui nourrit la thématique « Marianne », en actant la part la plus importante du modèle relationnel homme / femme en Occident. Avec une sagesse profonde et une justesse égalitariste très avant-gardiste, elle établit clairement la légitimité fondatrice et l’aboutissement d’une grande idéalité civilisationnelle…

Cette phrase simple mais capitale, est l’honneur de ce qui résume notre « occidentalité européenne ».

Elle rayonne, telle une « Devise » écrite à l’encre sympathique entre les lignes de notre histoire.
En sous-entendant : « un homme civilisé, ça doit par-dessus tout s’empêcher… », elle a scellé entre notre inconscient comportemental et notre quotidien sociétal, un « pacte d’égalité et de non transgression de l’espace du Féminin ».

Elle indique avec détermination, que l’hégémonie machiste, la misogynie latente ainsi que le désir charnel compulsif de l’homme doivent être contenus et maîtrisés, en quelque circonstance et en quelque mode vestimentaire que ce soit. Au passage, elle souligne que la femme n’a en rien à se sentir coupable d’une quelconque perversité séductrice… Ce qui ne doit aucunement contraindre l’homme à une frilosité d’action qui s’avérerait castratrice… Un subtil équilibre doit se mettre en place avec le naturel d’une vie sociale harmonieuse…

En effet, afin d’obtenir les faveurs d’une femme, avant l’ardeur masculine souvent pataude, empruntée ou par trop insistante, l’homme se devrait d’apprendre à agir avec bienveillance, dignité, douceur, subtilité et même, si cela lui est possible, avec raffinement.

Le consentement de la femme est ici le seul prérequis. Elle n’est pas une « pitance sexuelle »
comme elle l’a trop longtemps été pour l’homme. Sans cette cour chevaleresque, qui illustre
si bien l’occidentalité de l’homme, non seulement il souille le cœur de sa culture, mais il se
fourvoie dans un comportement « pithécanthropesque ».

Par les temps qui courent, nous dirions : « Un homme ça s’empêche d’agir comme un porc… »
L’homme occidentalisé d’aujourd’hui, ne peut agir autrement que de se positionner dans la compréhension de la réciprocité amoureuse (sensuelle ou sexuelle) : rapports heureux et
librement consentis, s’il ne veut pas perpétuer des comportements qui relèguent la femme
au rang « d’assujettie ».

Pour l’homme occidental, la déférence doit présider au cadre des jeux de séduction.

Tant que cet esprit « romanesque », chevaleresque, dont la galanterie, souvent considérée comme désuète, est une excroissance, prévaut, nous continuerons de maintenir et de pérenniser les valeurs de ce cap implicite de valeurs civilisationnelles. Dans ce mode de vie qui s’est institué en Occident, tous les choix relationnels, ainsi que les arbitrages péri-sexuels sont dévolus à la femme et à elle seule.

Le dicton : « l’homme propose, la femme dispose… », illustre parfaitement ce fait. Une adhésion sans retenue à cette ligne structurelle est fondamentale pour toute la communauté masculine, car elle instaure le véritable prérequis existentiel et la colonne vertébrale sociétale qui ordonnancent notre « Vivre Ensemble Occidental ».

Le contrôle machiste ainsi que les abus de pouvoir exercés par l’homme sur le sexe féminin, « qui lui doit soumission » depuis l’aube des temps, s’apparente à une forme de racisme genré ancestral, qui n’est, in fine, qu’un substitut d’esclavage primitif. La servitude du féminin trouve, dans la phrase de Lucien Auguste Camus, et plus paradoxalement aussi, dans le Nu artistique féminin, des facteurs puissants de son affranchissement.

Puissent ces quatre mots, contribuer à éclairer l’avenir d’un Occident en mal de repères…

PRÉSENTATION SYNTHÉTIQUE ET CONCEPTUELLE DE L’ŒUVRE

Cette création réunit plusieurs plans :

  • La symbolique représentée par Marianne, et plus largement, les symboles républicains et leur conséquences sociales, culturelles, philosophiques, …
  • Une phrase dont la conscience subliminale nous éclaire…
  • Le « Nu artistique » et ses incidences aux ferments méconnus…
  • L’art Quantique et ses perspectives aux inconnues fascinantes…

En effet, Marianne, égérie archétypale de Notre Mythologie républicaine, et la conceptualisation qui en est là instituée, font émerger des réflexions dont les postulats, pour certains décalés et pour d’autres centraux, vont bien au-delà du plan de l’art.
La perception ainsi que l’approche nouvelle autour de ce symbole, ouvrent une voie de compréhension de notre « socle sociétal » qui élargit en la précisant, notre lecture de celui-ci.
À ces carrefours conceptuels, des constats factuels et des remises en questions s’établissent :

MARIANNE :

Figure de proue emblématique de notre République. Serait-ce le symbole le plus vivant et

le plus précieux de la France ? Pourquoi ? Que nous révèle-t-elle ? Que nous transmet cette icône incarnée ?… Est-ce LA femme ? Est-ce une Déesse ?… Comment traiter ce sujet qui appartient à tous ? Comment faire en sorte qu’il interpelle chacun ?…

NOS SYMBOLES :

De l’importance de se réapproprier nos symboles et nos mythes : ils sont les références
métaphoriques ainsi que les véhicules des valeurs essentielles qui constituent notre « Vivre Ensemble ». Ces « phares » nous ont été légués par l’histoire, ils nous protègent des tempêtes… Rendre ces « boussoles » inspiratrices, prééminentes et vivaces, renforce le caractère profond de ce qui nous constitue réellement, et ce qui prédestine notre devenir civilisationnel. L’art est un excellent médium pour investir cet univers…

« UN HOMME, ÇA S’EMPÊCHE… »

Il est un fait incontestable, depuis l’Antiquité, la permanence en art, de ce motif : le Nu, constitue l’un des éléments centraux de la culture pré-occidentale puis, occidentale. Ce Nu, est même « en soi », une forme d’art à part entière, et non un simple « sujet »… La procédure de « nudification » établie par les artistes, semble habiller le corps d’une
seconde peau : l’esprit du sensible… Le dossier s’étend sur cette particularité…

LE NU ARTISTIQUE :

« Ceci n’est pas une femme nue… » Aurait pu dire René Magritte.

Figure de proue emblématique de notre République. Serait-ce le symbole le plus vivant et

le plus précieux de la France ? Pourquoi ? Que nous révèle-t-elle ? Que nous transmet cette icône incarnée ?… Est-ce LA femme ? Est-ce une Déesse ?… Comment traiter ce sujet qui appartient à tous ? Comment faire en sorte qu’il interpelle chacun ?…

L’ART QUANTIQUE

Vision subliminale transgressive… Flux d’énergie graphique vibratoire… Ondes panégyriques des champs symboliques unifiés… Ode à la vacuité matricielle… L’art Quantique, arborescence de l’Art Contemporain, distille les forces primales qui chantent à l’orée de nos consciences subatomiques. Dans les spirales évanescentes et boréales de ce monde, la science et l’art, intriqués, pourront peut-être un jour, rencontrer la Lumière à sa Source…

Indications tarifaires :

Les tirages des œuvres sont numérotés et limités à 30 exemplaires en tout par cliché :
à l’intérieur de ces 30 tirages, 5 formats sont possibles. Ils sont eux-aussi limités.

Note importante de l’auteur :

Certaines œuvres portent un cadre faisant partie intégrante de l’œuvre. En effet, des compositions « appellent » à un trait d’union diffus avec l’environnement et avec le futur. Tel un écho, ce cadre apporte profondeur et intensité au message graphique. Son « aura diffractive » sertit l’image focale de sa résonance centrifuge afin d’évoquer une forme d’acte lyrique déjà transitionnel.

Tout comme les cadres, les reflets dus à la matière de protection, font partie intégrante de l’œuvre. Ils en prolongent et en surlignent le sens. Ils ont en charge de contextualiser l’effervescence présentielle de l’image. Le choix délibéré de cette matière de protection à effet miroir, suggère à elle seule, une mise en spatialité virtuelle.

L’image réflexive collabore donc avec son lieu d’exposition. En effet, les reflets portent des réciprocités dont les symétries clandestines anticipent la métamorphose de la matière. Ils l’incluent à la boucle spatiotemporelle du recyclage.

Tous les tirages sont signés numérotés, avec Certificat d’Authenticité :

Format : h. 48 cm x l. 29,7 cm

édité à 14 ex.
Numérotés de 17 à 30

498 €

Pour les Entreprises : Défiscalisation sur cinq ans - 5 fois : 100 €

Format : h. 58 cm x l. 35,8 cm

édité à 7 ex.
Numérotés de 10 à 16

698 €

Pour les Entreprises : Défiscalisation sur cinq ans - 5 fois : 140 €

Format : h. 78 cm x l. 48,2 cm

édité à 5 ex.
Numérotés de 5 à 9

998 €

Pour les Entreprises : Défiscalisation sur cinq ans - 5 fois : 200 €

Format : h. 98 cm x l. 60,6 cm

édité à 3 ex.
Numérotés de 2 à 4

1498 €

Pour les Entreprises : Défiscalisation sur cinq ans - 5 fois : 300 €

Format : h. 128 cm x l. 79 cm

édité à 1 ex.
Numérotés 1

1998 €

Pour les Entreprises : Défiscalisation sur cinq ans - 5 fois : 440 €

Collection Noir et Blanc :

Tirages identiques (nombre et formats)

Tarifs : Moins 10 % par rapport aux tarifs couleurs

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