Mues

6.8

” 8.6 “

” 6146 “

” Affligem “

” AMSTERDAM “

” Atlas “

” Alveringem “

” Badoit “

” Brew “

” BREWDOG “

” BROOKLYN “

” CASTELAIN “

” CH’TI “

” CRISTALLINE “

” CUBANISTO”

” CUVEE DES TROLLS “

” DESPERADO “

” DESQUILES “

” FALSBOURG “

” GALLIA “

” GOUDALE “

” Grimbergen “

” Gussinne “

” Heineken “

” HOUT HAKKER “

” ICEWEISS “

” Jenlain “

” Kronenbourg “

” Kwak “

” La Chouffe “

” LaBiche “

” LEFFE “

” MONT ROUCOU “

” Monts “

” ORANGINA “

” PASQUIER “

” PAULANER MUNCHEN “

” Pepsi”

” PERLEMBOURG “

” PERRIER”

” PIETRA “

” PILS “

” POP PRINGLES “

” SAINT OMER “

” SALVETAT”

” SAN ERWAN “

” SAN PELLEGRINO “

” SCHWEPPES “

” SLASH LICORNE “

” SPRINK’S “

” SPRITE “

” STEAM BREW “

” Tokapi”

” VOLVIC “

” WALBERG “

” WALBERGEM “

” WINGMAV “

Indications tarifaires :

Les tirages des œuvres sont numérotés et limités à 30 exemplaires en tout par cliché :
à l’intérieur de ces 30 tirages, 5 formats sont possibles. Ils sont eux-aussi limités.

Note importante de l’auteur :

Certaines œuvres portent un cadre faisant partie intégrante de l’œuvre. En effet, des compositions « appellent » à un trait d’union diffus avec l’environnement et avec le futur. Tel un écho, ce cadre apporte profondeur et intensité au message graphique. Son « aura diffractive » sertit l’image focale de sa résonance centrifuge afin d’évoquer une forme d’acte lyrique déjà transitionnel.

Tout comme les cadres, les reflets dus à la matière de protection, font partie intégrante de l’œuvre. Ils en prolongent et en surlignent le sens. Ils ont en charge de contextualiser l’effervescence présentielle de l’image. Le choix délibéré de cette matière de protection à effet miroir, suggère à elle seule, une mise en spatialité virtuelle.

L’image réflexive collabore donc avec son lieu d’exposition. En effet, les reflets portent des réciprocités dont les symétries clandestines anticipent la métamorphose de la matière. Ils l’incluent à la boucle spatiotemporelle du recyclage.

Tous les tirages sont signés numérotés, avec Certificat d’Authenticité :

Format : h. 48 cm x l. 29,7 cm

édité à 14 ex.
Numérotés de 17 à 30

498 €

Pour les Entreprises : Défiscalisation sur cinq ans - 5 fois : 100 €

Format : h. 58 cm x l. 35,8 cm

édité à 7 ex.
Numérotés de 10 à 16

698 €

Pour les Entreprises : Défiscalisation sur cinq ans - 5 fois : 140 €

Format : h. 78 cm x l. 48,2 cm

édité à 5 ex.
Numérotés de 5 à 9

998 €

Pour les Entreprises : Défiscalisation sur cinq ans - 5 fois : 200 €

Format : h. 98 cm x l. 60,6 cm

édité à 3 ex.
Numérotés de 2 à 4

1398 €

Pour les Entreprises : Défiscalisation sur cinq ans - 5 fois : 300 €

Format : h. 118cm x l. 73 cm

édité à 1 ex.
Numérotés 1

1998 €

Pour les Entreprises : Défiscalisation sur cinq ans - 5 fois : 440 €

Collection Noir et Blanc :

Tirages identiques (nombre et formats)

Tarifs : Moins 10 % par rapport aux tarifs couleurs

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Remises

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Postulat Conceptuel

« Objets inanimés, avez-vous donc une âme… ? »

Alphonse de Lamartine

« La matière, lorsqu’elle est recyclable, devient presque aussi précieuse que l’eau. »
PdP

L’art, par ses capacités esthétiques, son pouvoir d’attraction émotionnelle, ses projections singulières, et sa faconde conceptuelle, peut devenir un acteur essentiel de la sensibilisation au recyclage.

Un artiste : Pascal di Péri (photographe, peintre, sculpteur, et plasticien), parvient à créer une « mystique graphique » fabuleuse qui lui permet d’exprimer allégoriquement le cycle vertueux du recyclage.

C’est à partir d’une technique qu’il a inventé et qu’il nomme « Captation Photo-Picturale » qu’il met en scène allégoriquement, l’essence de la métamorphose : magnificence de la Mue. Nous assistons à la naissance d’un art polymorphe, un art contributeur témoin et acteur de son époque, qu’il ne serait pas illégitime de nommer : « Tri-Art ».

Entre « fusion-liquéfaction » de la substance matérielle, et renaissance de la « matière-phœnix », il crée un univers graphi-cosmique parallèle. L’onirisme flamboyant de cette expérience photo-graphique, côtoie la transfiguration de stigmates séquentiels en éruption. Des « métamorpauses » enchantées dans lesquelles l’objet-déchet, est saturé de fréquences astrales. Leurs orbes inductrices, s’irisent d’auras spirituelles et de diffractions baroques.

Ce processus créatif, nommé « Captation Photo-Picturale », n’est plus tout à fait une prise de vue.

D’ailleurs, l’artiste considère son acte comme un « lâcher-prise de vue » : geste empreint de références à la fois quantiques et métaphysiques. En effet, Pascal di Péri n’agit pas en observateur actif des spasmes de cette matière en mue sidérale.

Il n’est plus là, que le témoin à postériori de sa quête… Ce n’est plus « l’œil de l’artiste » qui domine, mais bien le caractère intentionnel profond d’une conscience intérieure, antérieure, qui invoque mystérieusement la subconscience supérieure de l’Éther : exclure le mental de toute volonté de contrôle. Être là, effacé, comme suspendu au-dessus d’un échange au présent indicible. L’art alors s’infuse de spiritualité. Ses fragrances démiurgiques exhalent de ce plan extatique presque solennel.

Alors, phénomène miraculeux, « l’âme-à-tiers » rejoint le champ des vibrations électromagnétiques de ce « non vide ». Et le faisceau de lumière (particules de photons) entrant par l’objectif n’est plus dans une narration documentaire, mais dans une fiction poétique. Il est comme guidé et philtré par un « invisible » qui applique les Principes de Superposition et d’Incertitude. Principes par lesquels les particules atomiques remontant à leur source, apparaissent aussi en pinceaux d’ondes de potentiels rayonnants. Leurs prodigieuses vagues spiralaires aux paréidolies prédictives composent des chorégraphies autogénérantes. Polarisées ou réfractées par le déploiement diaphane de ces courants surgis de psychés sans confins, la matière s’osmose au temps pour se réengendrer…

Dans cette aventure créatrice, l’âme du processus technique ainsi que le sujet de l’expérimentation artistique sont, en même temps « intriqués », et « superposés » …

C’est pourquoi, les atomes allégoriques du capteur : les pixels, excités et inspirés par les vibrations effervescentes de cette « transmutation alchimique », entrent en résonances méta-chromiques. Leurs anamorphoses mutantes, corrélées au rayonnement d’un univers ineffable, accouchent de de vortex aux transcendances graphiques irradiées d’ivresse. Elles en jaillissent pour fonder des galaxies de matière en évanescence. Toutes leurs arborescences aux envoûtements ardents, vont s’y déployer en spires de probabilités boréales, afin que pour toujours, soit conjuré, l’inerte.

Car, oui, le déchet est bien là en état de « Mue » ; et tel le phœnix, il renait de ses cendres, se dissolvant et se réengendrant sous nos yeux. Cette transmutation alchimique s’opère irradiant le regard de spires boréales : métamorphose parée de magnificence et irisée d’aura que cette renaissance ennoblit…

Telle une comète prophétique dans cet éther limpide et flamboyant, la matière se consumant, s’alchimise, se sublime, et transmute. C’est un astre lumineux, cosmique, qui dorénavant, traverse le temps et l’espace d’un cadre aux proportions du Nombre d’Or.

Celui-ci la charge énergétiquement d’un message à la vertu aussi universelle qu’intemporelle, aussi modeste que sacrée. La régénérescence n’est-elle pas l’Alpha et l’Omega de notre continuum vers l’infini ?

Ce processus créatif, nommé « Captation Photo-Picturale », n’est plus tout à fait une prise de vue.

D’ailleurs, l’artiste considère son acte comme un « lâcher-prise de vue » : geste empreint de références à la fois quantiques et métaphysiques. En effet, Pascal di Péri n’agit pas en observateur actif des spasmes de cette matière en mue sidérale.

Il n’est plus là, que le témoin à postériori de sa quête… Ce n’est plus « l’œil de l’artiste » qui domine, mais bien le caractère intentionnel profond d’une conscience intérieure, antérieure, qui invoque mystérieusement la subconscience supérieure de l’Éther : exclure le mental de toute volonté de contrôle. Être là, effacé, comme suspendu au-dessus d’un échange au présent indicible. L’art alors s’infuse de spiritualité. Ses fragrances démiurgiques exhalent de ce plan extatique presque solennel.

Alors, phénomène miraculeux, « l’âme-à-tiers » rejoint le champ des vibrations électromagnétiques de ce « non vide ». Et le faisceau de lumière (particules de photons) entrant par l’objectif n’est plus dans une narration documentaire, mais dans une fiction poétique. Il est comme guidé et philtré par un « invisible » qui applique les Principes de Superposition et d’Incertitude. Principes par lesquels les particules atomiques remontant à leur source, apparaissent aussi en pinceaux d’ondes de potentiels rayonnants. Leurs prodigieuses vagues spiralaires aux paréidolies prédictives composent des chorégraphies autogénérantes. Polarisées ou réfractées par le déploiement diaphane de ces courants surgis de psychés sans confins, la matière s’osmose au temps pour se réengendrer…